C'est le modèle de ''religion for Peace'' ''interfaith'' où l'on retrouve Ghaleb Bencheikh.
C'est le modèle Ashoka, des entrepreneurs sociaux. L'entrepreneuriat social. Du business pour capter l'argent public en masse, du subventionnement par l'argent public!
Sauf que ce pognon file dans des assocentreprises qui ont vocation à infiltrer la société comme des frérots salafistes pour changer la société.
Mais la changer pour quoi? Vers quoi? Manifestement, pas vers le modèle de Ni Putes Ni Soumises. Nan, vers la coexistence.... Le cache sexe de l'islamisme en France. L'observatoire de la laïcité ne récompense plus que des boîtes associatives de ce tonneau. Alors la laïcité et le républicanisme de Ni Putes Ni soumises, c'est un handicap.
On peut même pas en vouloir à Marlène Schiappa, son environnement est tellement noyauté par ce genre de profil associatif, que je suis même pas sûr qu'elle ait compris les enjeux. L'inclusion, voici la mode actuelle. C'est joli, c'est coexistant, c'est apolitique ( lol) et areligieux ( relol). Ce business associatif est une manière de financer la bigoterie.
Ça finance pas les cultes directement, mais ça promeut la croyance à la place des consciences, la coexistence à la place de l'égalité, le communautarisme à la place de la fraternité, et le contrôle social à la place de la liberté. L'heure est à la partouze oecuménique subventionnée contre la laïcité et l'égalité homme femme. Contre la République.
Mais c'est un business soft. Un tamkine tranquille. Ce modèle ne s'impose pas, il infuse. Comment je le sais?
Ni Putes, Ni soumises me le dit. En 2003, elles hurlaient que les femmes n'étaient pas des putes, et qu'elles refusaient de se soumettre au patriarcat en particulier musulman. En 2003.
En 2019, on subventionne toute entreprise sociale qui cache le rigorisme. Rigorisme qui conduit au voilement, à l'acceptation de la pudeur islamique, islamiste même.
En 2019, Ni Putes Ni soumises ferme sa boutique républicaine et laïque, égalitaire, libertaire, et anti communautariste.
C'est une chute économique, mais surtout c'est la victime collatérale du déni d'islamisme.
Ni Putes Ni Soumises est victime d'une idéologie qui a muté en business social pour tuer toutes résistances laïques et républicaines. Le coup de grâce vient d'en haut. C'est le subventionnement qui permet aux assoces de se substituer à l'État pour l'intérêt général ou l'intérêt public.Mais l'état dorénavant, lui arrose des entreprises sociales et non plus des constructions associatives.
En attendant merci, Ni Putes Ni Soumises, vous avez ouvert des tranchées. A nous de les remplir avec nos moyens, et les anathèmes de raciste et d'islamophobe.
Nous vous le devons. Merci!